• Cleveland San Antonio 90-92
    Indiana Charlotte 88-86
    Philadelphia Boston 90-101
    Washington Dallas 102-105
    Orlando LA Clippers 90-114
    Brooklyn Milwaukee 118-122
    Detroit Phoenix 86-88
    Toronto Memphis 96-92
    Minnesota New York 115-99
    Denver Oklahoma City 107-100
    Houston LA Lakers 92-98

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  • Dominateur mais battu face à LaMarcus Aldridge, Anthony Davis a certes laissé son copain DeMarcus Cousins (24 points, 17 rebonds) faire un carnage monstrueux au niveau des chiffres mais c’est bien son équipe des Pélicans qui a ramassé la victoire face à Sacramento 

    Toujours aussi présent près du cercle, que ce soit aux rebonds offensifs ou à la finition des systèmes (des alley oops bien souvent), « The Brow » poursuit sa fantastique saison. Rendez-vous compte, le gamin de 21 ans tourne à 25 points, 12 rebonds, 4 contres, 2 passes et 2 interceptions par match, le tout à 57% de réussite aux tirs pour une évaluation record de 37 !

    « On sait qu’on aurait dû gagner notre dernier match [contre Portland]. Et ça revient à ce que disait le coach : on doit saisir l’instant. Ce soir, on a été plus réalistes et on ne s’est pas déconcentré quand ils ont fait un retour. L’entraîneur a pris les temps morts qu’il nous fallait et nous, on a simplement mis en pratique les systèmes. » confiait après coup le héros de la soirée.

    Après 10 matchs, et selon le Bureau Elias Sport qui veille au grain, Davis n’est plus qu’à un contre de glorieux aînés tels qu’Hakeem Olajuwon, Patrick Ewing et Kareem Abdul-Jabbar qui ont tenu 25 points, 10 rebonds et 4 contres de moyenne par match sur une période de 10 rencontres. C’est dire le début de saison en boulet de canon du jeune intérieur des Pélicans !


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  • Décès d'Alain Gilles : « Monsieur Basket » s’en est allé…

    Je vous parle d’un temps que les moins de 30 ans, et même les moins de 40 ans ne peuvent pas connaître. En ce temps-là, la NBA n’existait pas en France, et le championnat de France était très rare à la télévision. Pour suivre mon sport préféré, je lisais les pages sport de France Soir, regardais Stade 2 et j’attendais chaque mois mon Maxi Basket. 

    On est au début des années 80 comme chantera IAM, et mes idoles s’appellent Ed Murphy, Mathieu Bisseni et Alain Gilles. « Monsieur Basket » est alors en fin de carrière, mais il s’accroche. J’ai de rares souvenirs de lui, à travers quelques rencontres télévisées et des extraits dans les émissions du dimanche. En fait, je me souviens d’un joueur au physique du Christ, qui faisait beaucoup plus que son âge. Je me souviens aussi qu’il était joueur-entraîneur, et ce statut m’impressionnait. L’année où l’Asvel s’incline en finale de la Coupe des Coupes, il est obligé de rejouer à… 38 ans. Pour vous donner une idée de la situation, c’est comme si Jason Kidd ou Derek Fisher, aujourd’hui coaches des Bucks et des Knicks, étaient obligés de rejouer à cause des blessures de leurs meneurs de jeu.

    « Le meilleur joueur français du XXe siècle »

    Et puis il y avait cette allure sur le terrain. Toujours la tête haute. C’était le boss. On sentait, notamment en fin de carrière, que les adversaires avaient un immense respect pour lui. En fait, avec le recul, j’ai le sentiment que Alain Gilles était le Jerry West du basket français. L’homme dont la silhouette aurait pu être sur le logo de la LNB.

    Et puis, je me souviens encore et toujours des papiers de Maxi Basket qui le présentait comme le meilleur joueur français de l’histoire, et de ses « enfants » comme Jacques Monclar et Vincent Collet, qui ont joué sous ses ordres avant de devenir de grands entraîneurs. Jusqu’au début des années 2000, et les arrivées d’Antoine Rigaudeau et de Tony Parker, le meilleur basketteur français, c’était lui. Pourtant, il y avait Dubuisson, Dacoury ou encore Ostrowski, plus contemporains de ma génération. Mais Gilles était toujours devant avec ses 8 titres de champion de France, ses 159 sélections, et ce statut d’être l’un des meilleurs joueurs européens de sa génération.

    Mardi, ce « Monsieur Basket » s’est éteint à l’âge de 69 ans, et il restera à jamais le meilleur joueur français avant Tony Parker, dont il partageait le même club de coeur : l’ASVEL.

    Cet article a été pris sur basket usa.


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  • 32 000 points en carrière pour Kobe Bryant

    Avec des monuments du jeu qui dépassent les 15 années de carrière, de nombreux records et barres symboliques sont franchis cette saison. Après Dirk Nowitzki et ses 27 000 points en carrière, Tim Duncan et la barre des 25 000 atteinte, voici Kobe Bryant qui franchit le cap des 32 000 unités. 

    Il lui fallait 27 points contre les Hawks pour passer ce seuil mythique et l’arrière des Lakers en a inscrit 28 (à 10/18 aux tirs) pour accompagner Kareem Abdul-Jabbar, Karl Malone et Michael Jordan dans ce club très fermé.

    Il pourrait d’ailleurs dépasser Sa Majesté très rapidement, puisqu’il ne lui manque que 292 points pour devenir le 3e meilleur scoreur de l’histoire, un total qui pourrait être atteint d’ici une dizaine de matchs.

    Voici le paniers des 32 000 points et les applaudissements du public:


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