Joakim Noah est le meilleur défenseur et meilleur oueur français de cette saison 2013-2014. Ses stats son remarquables:

12,5 pts/11,3 reb/5,3 pds/35 min/78 matchs.

Il fait donc en moyenne un double-double par matchs. Il est classé cette saison 4e pour les votes du MVP (TP a eu cette place en 2012). Elu pour la seconde fois au All-Stars Game, il a effectué la meilleur saison de sa carrière. Jooks est maintenant le leader des Bulls mais aussi des français ( après Tony biensur). Tony Parker à cédé sa place de meilleur joueur de basket français cette année.

Ps: Je fait un commentaire à part pour vous dire qu'en Juillet je pars deux semaines en Espagne, ce qui veut donc dire que je ne pourrai pas faire d'article pendant cette durée.

BYE

Les votants auraient pu récompenser l’équipe dans son ensemble, Gregg Popovich, Boris Diaw, Tony Parker ou encore Tim Duncan. Finalement, ils ont choisi Kawhi Leonard en tant que MVP des Finales. 

Avec ses 17.6 points et 6.4 rebonds de moyenne, l’ailier de 22 ans a été précieux des deux côtés du terrain, se révélant après deux premiers matches moyens pour gêner LeBron James tout en réussissant des prestations offensives de haut niveau. Sur les trois derniers matches, il était clairement l’homme en forme des Spurs.

« Actuellement, c’est juste irréel pour moi », pouvait-il simplement expliquer.

Le traumatisme du match 6 de l’an passé était dans toutes les têtes texanes avant d’aborder cette cinquième levée à domicile… Mais si le Heat a essayé de semer le trouble avec un départ canon (22-6), LeBron James (31 points, 10 rebonds, 5 passes) a été bien trop esseulé pour renverser la vapeur dans une série trop mal embarquée. San Antonio a réalisé un grand match d’équipe avec 22 points et 10 rebonds de Kawhi Leonard, élu MVP des Finales, 14 points et 8 rebonds de Tim Duncan, 19 points et 4 passes de Manu Ginobili et 17 points de Patty Mills. Avec un titre dans chacune des trois dernières décennies, les Spurs de Gregg Popovich continuent de marquer de leur empreinte la NBA moderne. 

LeBron James seul contre tous

De retour à la maison, les Spurs font face à une équipe du Heat surmotivée. LeBron James prend les choses en main dès le début du match avec 12 points, 4 rebonds et 2 contres pour porter Miami à un avantage de 16 points (22-6). Pour les Spurs, c’est le négatif du match 3 avec un début de match catastrophique caractérisé par un 1/12 aux tirs. Rendez-vous compte, le premier point texan intervient sur lancer au bout de 3 minutes et 30 secondes et le premier panier au bout de 5 minutes par un trois points de Kawhi Leonard. Face à un LeBron James dominateur (déjà 17 points et 6 rebonds au bout du premier quart), San Antonio fait le dos rond et parvient à rester à 7 longueurs (29-22).

Essuyant l’orage grâce à un 9-0 venu de trois tirs longue distance en premier quart, les Spurs reprennent leur marche en avant en deuxième quart. Ils infligent un cinglant 17-6 pour prendre leur premier avantage du match. Le public texan gronde comme jamais alors que Manu Ginobili prend feu avec un dunk monstrueux sur la calebasse de Chris Bosh, puis un trois points en step back. Miami est complètement amorphe avec un indigne 4/15 aux tirs. LeBron James a marqué la moitié des points de son équipe à la pause alors que ses coéquipiers rendent une bien triste copie à 7/22. Menés de 7 points à la fin du premier, les Spurs ont inversé la tendance en menant à leur tour de 7 points à la pause (47-40).

Les Spurs écrasent la concurrence

Et les Spurs ne font que commencer leur festival ! Si le début du troisième quart est plutôt défensif sans le moindre point lors des trois premières minutes, San Antonio explose à nouveau en transition en enfilant les trois points, notamment par l’intermédiaire de Patty Mills qui réalise un parfait 4/4 derrière l’arc. Le Heat est complètement étouffé avec une panne offensive qui rappelle les matchs 3 et 4. Quand Tiago Splitter bâche méchamment Dwyane Wade, l’AT&T Center explose et les Spurs continuent d’écraser le champion en titre. Après le 22-6 initial du Heat, la troupe texane a passé un hallucinant 71-36 à Miami ! C’est surréaliste ! Et la passation de pouvoir se prépare déjà…

Tony Parker était capot à la pause… le meneur tricolore sauve l’honneur juste avant la fin du troisième quart et il trouve enfin son rythme en dernier quart avec 6 points d’affilée. Erik Spoelstra ne sait plus quoi tenter alors il décide de relancer Mario Chalmers et de donner sa chance à Michael Beasley. Le résultat n’est pas probant, même si Miami revient un temps à -14. Les Spurs voguent tranquillement vers le cinquième titre de leur histoire derrière un Tony Parker retrouvé. Le « Big Three » des Spurs va donc réaliser l’incroyable exploit de remporter un quatrième titre après leurs sacres en 2003, 2005 et 2007 !